Bonjour,
Pourrez vous m'éclairer sur les mobiles des conflits ? J'ai l'impression que certains d'entre eux m'échappent.
L'histoire atteste de multiples causes apparentes de conflit à travers les âges. Parmi ces dernières nous pouvons à titre d'exemples citer l'assassinat de l'archiduc François Ferdinand. Intéressant à plus d'un titre, en ce qu'il semble être événement singulier, presque anonyme dans la somme des actions humaines qui à chacun instant font l'histoire. ( disproportion entre la cause et les conséquences. )Mais également en ce qu'il nous pousse nécessairement pour comprendre la situation à prendre en compte l'ensemble de la situation, à nous interroger par ailleurs , sur le statut de l'histoire et plus particulièrement si elle n'est que suites d'évènements à la combinaison toujours unique ou bien si au delà de l'apparente diversité ne se cachent pas, latentes des constances voir mêmes des lois ?
( Je ne sais si ma distinction n'est pas oiseuse voire erronée. Je vois dans le terme « constance », l'expression d'une non altération, qui peut même en jeu des ou Un événement, là ou la loi physique à attrait à une relation, c'est à dire l'union ici nécessairement entre au moins deux entités. Est ce judicieux ? La constance à quelques choses également de « passif », en ce qu'il est de l'ordre du constat à postériori. Là ou la loi est quelque choses que l'on édite , de l'ordre de fait, de l'actif . Un bémol tout de même du fait qu'il faille considérer les « lois » en question. Si ces dernières sont cosmiques. Celui qui peut être dit actif n'est pas l'homme mais uniquement la transcendance. Encore une fois est viable ? Pouvez vous m'aider à étoffer ? )
( - Voie de reflexion pour la seconde voie dans l'alternative posée )
_ mobiles du conflit : la raréfaction des biens qui entraîne ainsi la mise en concurrence des hommes entres eux. Cette dernières, traduit une logique disons « capitaliste » de l'homme, ce qui érige comme valeurs la « possession » tendant ainsi à faire sien ce que Dieu à donner à tous . Ce qui impliquerait que le « vol » ne sont plus une « faute ».
_ Traduction aussi de l'existence de deux tendances fondamentales : Je pensais à Kant mais là est il vraiment approprié puisse que le rapprochement n'est pas tant révélateur de « sociabilité » puis qu'il conduit au déchirement entre eux de groupes. Comment négocier ce passage ?
_ Désir d'expansion traduction de tendances telles que la curiosité et l'orgueil . Avec le vieux fantasme de la domination de la nature. Ce principe irritait de l'animalité. Tous conflits est il synonyme d'animalité ou d'échec de la raison?
- La raison dans l'histoire . (Hegel ) Auriez vous un texte que je pourrais commenter pour nourrir ce point, s'il vous plaît ?
- constante n'est pas nécessairement synonyme de compréhension possible et surtout à travers elle de maîtrise ( "la connaissance apporte la puissance" ) _ shopenhauer : caractère implacable , car inscrit dans la nature même de l'homme, ce qui constitue ces instincts et qui conditionnent la raison donc surlesquels cette dernière ne peut revenir. Impossibilité de tirer leçon de l'histoire.
Pouvez vous m'aider à étoffer, s'il vous plaît ?
Pourrez vous m'éclairer sur les mobiles des conflits ? J'ai l'impression que certains d'entre eux m'échappent.
L'histoire atteste de multiples causes apparentes de conflit à travers les âges. Parmi ces dernières nous pouvons à titre d'exemples citer l'assassinat de l'archiduc François Ferdinand. Intéressant à plus d'un titre, en ce qu'il semble être événement singulier, presque anonyme dans la somme des actions humaines qui à chacun instant font l'histoire. ( disproportion entre la cause et les conséquences. )Mais également en ce qu'il nous pousse nécessairement pour comprendre la situation à prendre en compte l'ensemble de la situation, à nous interroger par ailleurs , sur le statut de l'histoire et plus particulièrement si elle n'est que suites d'évènements à la combinaison toujours unique ou bien si au delà de l'apparente diversité ne se cachent pas, latentes des constances voir mêmes des lois ?
( Je ne sais si ma distinction n'est pas oiseuse voire erronée. Je vois dans le terme « constance », l'expression d'une non altération, qui peut même en jeu des ou Un événement, là ou la loi physique à attrait à une relation, c'est à dire l'union ici nécessairement entre au moins deux entités. Est ce judicieux ? La constance à quelques choses également de « passif », en ce qu'il est de l'ordre du constat à postériori. Là ou la loi est quelque choses que l'on édite , de l'ordre de fait, de l'actif . Un bémol tout de même du fait qu'il faille considérer les « lois » en question. Si ces dernières sont cosmiques. Celui qui peut être dit actif n'est pas l'homme mais uniquement la transcendance. Encore une fois est viable ? Pouvez vous m'aider à étoffer ? )
( - Voie de reflexion pour la seconde voie dans l'alternative posée )
_ mobiles du conflit : la raréfaction des biens qui entraîne ainsi la mise en concurrence des hommes entres eux. Cette dernières, traduit une logique disons « capitaliste » de l'homme, ce qui érige comme valeurs la « possession » tendant ainsi à faire sien ce que Dieu à donner à tous . Ce qui impliquerait que le « vol » ne sont plus une « faute ».
_ Traduction aussi de l'existence de deux tendances fondamentales : Je pensais à Kant mais là est il vraiment approprié puisse que le rapprochement n'est pas tant révélateur de « sociabilité » puis qu'il conduit au déchirement entre eux de groupes. Comment négocier ce passage ?
_ Désir d'expansion traduction de tendances telles que la curiosité et l'orgueil . Avec le vieux fantasme de la domination de la nature. Ce principe irritait de l'animalité. Tous conflits est il synonyme d'animalité ou d'échec de la raison?
- La raison dans l'histoire . (Hegel ) Auriez vous un texte que je pourrais commenter pour nourrir ce point, s'il vous plaît ?
- constante n'est pas nécessairement synonyme de compréhension possible et surtout à travers elle de maîtrise ( "la connaissance apporte la puissance" ) _ shopenhauer : caractère implacable , car inscrit dans la nature même de l'homme, ce qui constitue ces instincts et qui conditionnent la raison donc surlesquels cette dernière ne peut revenir. Impossibilité de tirer leçon de l'histoire.
Pouvez vous m'aider à étoffer, s'il vous plaît ?