Pénalisation et dépénalisation .
Je suis en première année de philosophie à la fac. Et étant donné les grèves qui la touche, je reçois des sujets de réflexion mais sans aucun cours à l'appui. J'aimerai donc un peu d'aide, sous forme de questions si possible en ce que cela m'ouvrira des pistes, tout en me laissant développer une réflexion personnelle.
Ne sachant comment prendre le sujet, j'ai pris le parti de commencer par une réflexion sur ce qui « unit » les deux termes, à savoir le mot « peine ». En essayant de déterminer, ce qu'elle est, ainsi que sa fonction. Qui ici semblent indissociables. Je n'ai pu dire la « peine » sans dire sa fonction.
Je résume les grandes idées et les liens existant entre elles.
- la peine est châtiment qui s'exerce sur l'auteur d'un crime et en réparation d'un dommage subit par une victime. Elle met en exergue une relation entre des individualités, des personnes physiques et non encore morale ( sociétale ) dans laquelle l'état et la justice n'intervient que pour arbitrer le conflit, garantir les droits fondamentaux.
- La peine permet également la réparation de la conscience morale de l'individu, assurant ainsi sa fonction expiatoire. ( Socrate préférant subir le mal que le faire pour ne point corrompre son âme ) La peine est violence pour le bien de celui qui la subit . ) Pour raffermir en lui, la conscience morale. Ce qui suppose que l'homme n'y est enclin de lui même. Le bien est une contrainte que l'être doit pour s'y conformer toujours sentir présente ( malaise dans la civilisation : l'homme mauvais dompté par la société. Qui sans elle retournerait à la sauvagerie de l'Etat de nature.
De quoi les mouvements législatifs sont ils les révélateurs ?
- La peine : réaffirmation du contrat social. Une dimension collective toujours présente au delà des mouvements législatifs ( « ion » traduction du mouvement ) Une autorité toujours présente.
Des mouvements révélateurs du caractère relatif, conditionnée ( contexte ) limitée ( exercant dans le cadre d'une société donnée ) des valeurs . Facteurs de changement : inter-connection des êtres subissant des influences : Renaissance : redécouverte des textes. Question : Qui est le moteurs des grands changements ? Est ce l'opinion ou les politiques ?
Les hommes et leurs lois sont à l'image du monde , cette "branloire perenne" (Montaigne) en devenir ( mobilisme universel = héraclite )
- Une notion d'essai et d'erreur. ( par les contraires. Cela renvoie au mode de connaissance humaine ) Les lois se font et se défont. Suivant les visions. Il y a t'il une finalité cachée ? ( hegel les passions cachent la raison )Vers quoi nous dirigeons nous ?
Voilà , c'est peu de choses . Mais je ne sais que dire. Je n'y parviens pas.
Pardon pour l'aspect brouillon , confus.
Je suis en première année de philosophie à la fac. Et étant donné les grèves qui la touche, je reçois des sujets de réflexion mais sans aucun cours à l'appui. J'aimerai donc un peu d'aide, sous forme de questions si possible en ce que cela m'ouvrira des pistes, tout en me laissant développer une réflexion personnelle.
Ne sachant comment prendre le sujet, j'ai pris le parti de commencer par une réflexion sur ce qui « unit » les deux termes, à savoir le mot « peine ». En essayant de déterminer, ce qu'elle est, ainsi que sa fonction. Qui ici semblent indissociables. Je n'ai pu dire la « peine » sans dire sa fonction.
Je résume les grandes idées et les liens existant entre elles.
- la peine est châtiment qui s'exerce sur l'auteur d'un crime et en réparation d'un dommage subit par une victime. Elle met en exergue une relation entre des individualités, des personnes physiques et non encore morale ( sociétale ) dans laquelle l'état et la justice n'intervient que pour arbitrer le conflit, garantir les droits fondamentaux.
- La peine permet également la réparation de la conscience morale de l'individu, assurant ainsi sa fonction expiatoire. ( Socrate préférant subir le mal que le faire pour ne point corrompre son âme ) La peine est violence pour le bien de celui qui la subit . ) Pour raffermir en lui, la conscience morale. Ce qui suppose que l'homme n'y est enclin de lui même. Le bien est une contrainte que l'être doit pour s'y conformer toujours sentir présente ( malaise dans la civilisation : l'homme mauvais dompté par la société. Qui sans elle retournerait à la sauvagerie de l'Etat de nature.
De quoi les mouvements législatifs sont ils les révélateurs ?
- La peine : réaffirmation du contrat social. Une dimension collective toujours présente au delà des mouvements législatifs ( « ion » traduction du mouvement ) Une autorité toujours présente.
Des mouvements révélateurs du caractère relatif, conditionnée ( contexte ) limitée ( exercant dans le cadre d'une société donnée ) des valeurs . Facteurs de changement : inter-connection des êtres subissant des influences : Renaissance : redécouverte des textes. Question : Qui est le moteurs des grands changements ? Est ce l'opinion ou les politiques ?
Les hommes et leurs lois sont à l'image du monde , cette "branloire perenne" (Montaigne) en devenir ( mobilisme universel = héraclite )
- Une notion d'essai et d'erreur. ( par les contraires. Cela renvoie au mode de connaissance humaine ) Les lois se font et se défont. Suivant les visions. Il y a t'il une finalité cachée ? ( hegel les passions cachent la raison )Vers quoi nous dirigeons nous ?
Voilà , c'est peu de choses . Mais je ne sais que dire. Je n'y parviens pas.
Pardon pour l'aspect brouillon , confus.